Bienvenue sur PEET, la hotline des victimes d'enlèvements extraterrestres

Si vous pensez que vous avez été la victime d'un enlèvement extraterrestre, (EET) notre groupe de soutien est la pour vous écouter avec bienveillance tout en préservant votre confidentialité. Vous pouvez nous envoyer un message sur:

hotline.peet@gmail.com

Cet effort est en réaction à l'absence de tels réseaux de soutiens dans les pays francophones et d'autres, alors que ceux-ci ont 25 ans d'existences et d'expériences en Grande Bretagne et aux États Unis. Nous sommes des volontaires sans apriori qui voulons comprendre qu'elle est l'ampleur et les caractéristiques du phénomène dans nos pays. Nous sommes aussi à la disposition des psychologues et psychiatres qui ont pu être en contact avec de tels patients.

Notre point de départ est que si le phénomène à plus de réalité qu'une simple mystification, il est improbable qu'il soit cantonné au seul monde anglo-saxons. Les travaux de John Mack. Budd Hopkins, et Nick Pope entre autres, sont suffisamment crédibles pour que nous décidions de nous pencher sérieusement sur le sujet. Mais nous n'avons aujourd'hui aucune indication précise sur la réalité d'un tel phénomène dans nos pays.

PEET n'est pas spécifiquement dédié à débattre du phénomène, ou à chercher a prouver une thèse au grand public, d'autres s'en charge avec plus ou moins de succès. Nous voulons avant tout pouvoir sortir de leur isolement et mettre en relation entre elles, les personnes ayant fait l'expérience de tels phénomènes. Nous sommes un point de contact facile à trouver sur internet pour mettre en relations ceux qui se sentent directement concernés par le sujet, pour une raison ou une autre. Nous garantissons l'anonymat des membres de PEET et des personnes entrant en contact avec nous.

Nous rejetons l'utilisation des faiblesses individuelles à des fins personnelles, commerciales ou sectaires.


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LA DESCRIPTION DE NICK POPE SUR LE DÉBAT ET L'ÉTAT DES RECHERCHES SUR LE PHÉNOMÈNE DES EET.

http://www.nickpope.net/intruders_foundation.htm

Texte traduit de l'anglais:

Le 6 mai 2000 j'ai pris part à la conférence organisée à New York par la Intruders' Foundation sur le thème des enlèvements extraterrestres (EET). La qualité des présentations et des datas présentées en font la meilleure conférence à laquelle j'ai eu la chance d'assister. J'ai été heureux d'avoir été invité à parler, car j'avais déjà l'intention de venir assister en tant que spectateur. En plus du plaisir de pouvoir assister à cette conférence qui s'annonçait fascinante, j'avais aussi l'opportunité de retrouver certains amis comme Peter Robbins et Linda Cortile.

La raison pour cet article est de donner une vue d'ensemble sur la conférence et communiquer les datas obtenues pour les présenter à une audience plus large et ainsi provoquer un débat. Évidemment je ne peux donner qu'un résume bref de ce qui a été couvert, mais en le faisant j'indique les livres et les sites web où le lecteur pourra trouver des informations conséquentes.

Il est clair que les recherches américaines concernant les EET sont bien mieux organisées qu'en Grande Bretagne dans leur capacité à répondre aux besoins des victimes. A part le soutien psychologique que je donne moi-même ainsi que quelques chercheurs, il y a en fait très peu de groupes de soutien en Angleterre – bien que le soutien aux témoins créée par Ken Phillips et maintenant animé par James Millen est un bon exemple d'un groupe dirigé par des victimes de EET pour d'autres. La Grande Bretagne n'a pas ce réseau très organisé et large de psychiatres, psychologues, et hypno thérapeutes qui existe aux États-Unis, qui assiste les victimes de EET et qui facilite le travail des chercheurs.

La Intruders’ Foundation (IF) est une organisation créée par Budd Hopkins, elle étudie le phénomène des EETs et aide les victimes à surpasser ces expériences. L'équipe de IF est compétente, dévouée et dure à la tache ; cette conférence n'aurait pu avoir lieu sans leur soutien.

Après une courte présentation du modérateur Greg Sandow, j'ai donné la première conférence de la journée. Après une explication rapide de mon expérience au Ministère de la Défense en charge du dossier OVNI, je me suis concentré sur les enlèvements. Je voulais donner au public une perspective sur le type de cas de EET que j'avais étudié en Grande Bretagne, en cherchant à définir les différences fondamentales entres les cas anglais et américains, et à savoir si des différences culturelles et méthodologiques pouvaient expliquer celles-ci. J'ai entre autre indiqué que les britanniques sont plus réticents en général à consulter un thérapeute ou à discuter des situations au cours desquelles ils avaient perdu leur autonomie. Ceci ajoute au fait que les chercheurs britanniques (moi-même inclus) sont plus réticents sur l'utilisation de l'hypnose et ses conséquences, ce qui donne la fausse impression que les cas de EET sont moins fréquents en Grande Bretagne et moins complexes.

Afin d'essayer de corriger cette erreur, j'ai lu une sélection de témoignages que j'ai recueillie parmi les victimes anglaises. J'ai sélectionné six cas parmi les dizaines étudiés ces six derniers mois, et j'ai pu montrer la grande similarité des motifs décrits, des laps de temps manquant, des rais de lumières paralysants, et des observations de créatures appelées communément les Gris (Greys).

J'ai aussi mentionné le développement que j'ai noté à propos des victimes de EET qui commencent à prendre plus confiance, écrivant en détails leurs expériences, commençant des lettres d'Informations, et ne permettant plus d'être éclipsés par les chercheurs. Ceci est peut-être une conséquence du fait que peu d'Ufologues sont prêts à travailler avec ces victimes, ou ont de mauvaises expériences de telles coopérations. Une autre possibilité est que certains trouvent dans une action active face à ce traumatisme une libération cathartique plus profonde. Je suis convaincu que les victimes impliquées dans l'Ufologie gagnent beaucoup en assurance.

Pour finir j'ai lancé certaines idées sur la manière de comprendre plus avant ce phénomène en définissant le profil psychologique des victimes, le profil de leur ADN, recherche sur une similarité de leur groupe sanguin, et même (après considérations légales et morales) une surveillance secrète des victimes. Plus de détails sur mes propres recherches sur le phénomène EET peuvent être consultés dans mon ouvrage L'Intrus.

L'intervention suivante était celle de Anna Jamerson, une victime qui est bien connue en Amérique mais moins parmi les Ufologues anglais. Immédiatement avant sa présentation elle m'avait dit à quel point elle se sentait nerveuse, mais elle n'aurait pas du s'inquiéter, car elle donna, je pense, le témoignage le plus fort et le plus poignant que j'ai pu entendre d'une victime de EET à une conférence. Malgré toute l'expertise d'un Budd Hopkins ou d'un John Mack, rien ne peut se comparer aux témoignages de victimes, qui sont si souvent éclipsés par les chercheurs. Ce n'était pas le cas ici.

Anna détailla ce qui allait être une expérience fondamentale pour elle. Ce sont souvent les petits détails qui s'avèrent les plus intéressants, comme sa conviction d’avoir brûlé le livre de Whitley Strieber Communion à cause de l'image d'ET sur la couverture. Elle décrit comment la rencontre avec Beth Collins lui provoqua d'étranges émotions alors que les deux femmes commencèrent à deviner qu'elles s'étaient déjà rencontrées. Sa voix entrecoupée d'émotion, elle décrit comment Beth avait dessiné un emblème d'un uniforme porté par une écolière qui avait un accent anglais, dont elle se remémorait parmi ses souvenirs d'enfances. Ce qu’ Anna n'avait pas dit à Beth c'est qu'elle avait été scolarisée en Angleterre – et que l'emblème était le même sur son uniforme.

Anna a décrit une variété de créature, à laquelle elle avait donné des noms qui indiquaient soit leurs apparences soit leur rôle, dont les chats chauves, le service d'escorte, la force de sécurité, la nanny, ou Doc. Elle décrivit comment elle et Beth ont été enlevées de plusieurs endroits durant leur enfance, mises ensemble peut être pour observer leur interaction sociale (pour plus d'informations sur ce concept vous pouvez lire les chapitres 16, 17, et 18 du livre de Budd Hopkins Témoins, notamment au sujet du cas de Linda Cortile. Elle décrit comment elle jouait à plusieurs jeux utilisant son esprit pour manipuler des objets dans une perspective d'étudier la psychologie de relations sociales comme l'amitié.

Pour Anna, il ne faut pas croire, comme certains l'ont fait, que les ETs ont lieu pour sauver le monde d'un désastre. Ils ne sont pas bons, dit elle. Ils ne sont pas ici pour nous, mais pour eux mêmes. Des détails additionnels de l'expérience de Anna et Beth peuvent être trouvés dans leur livre Connection, publié par Wild Flower Press.

Il me semble qu'il y ait trois possibilités pour comprendre le témoignage d’Anna. Les sceptiques suggéreront qu'elle invente tout cela, mais j'ai remarqué que les gens qui faisaient de telles accusations avaient rarement rencontré les victimes et encore moins travaillé avec eux. Si des gens comme Ana inventent ces expériences complexes, aux facettes multiples, et en donnent un compte rendu consistant sur plusieurs années, alors leur talent d'acteur leur permettrait de gagner des fortunes à Hollywood. Il doit être dit que ceux qui témoignent n'ont pas grand chose à gagner et beaucoup à perdre : vis à vis de leurs famille, de leurs amis et de leur employeur, ceux qui, nombreux, décident de parler pour cette raison, le font en utilisant un pseudonyme Les gens comme Anna n'ont pas le profil des demandeurs d'attention après leur 15 minutes de gloire sur le podium. En fait, une toute petite fraction de ceux-ci ont exprimé un désir de témoigner publiquement et l'ont fait avec une dignité tranquille que l'on ne trouve pas parmi les demandeurs d'attentions compulsifs. La deuxième possibilité est que Anna et les autres souffrent d'une illusion collective d'une profondeur et d'une ampleur fantastique. Il n'y a simplement aucune évidence psychologique et psychiatrique afin de soutenir cette théorie. La troisième possibilité est que ceux qui, comme Anna, décrivent des évènements qui ont actuellement pris place, le font du mieux qu'ils peuvent,. Je suis en faveur de cette explication.

Le speaker suivant était D. John Mack, Professeur de Psychiatrie à Havard, dont les convictions courageuses et publiques sur la réalité des EETs firent trembler l'establishment académique au début des années 90. Mack a détruit l'argument que tout ceci était lié à la paralysie du sommeil – souvent sorti par les sceptiques pour expliquer le phénomène. Selon lui, cette théorie était généralement proposée par des gens sans aucune expérience dans le domaine, et il déclara que son statut de psychiatre rejetait cette idée puisqu’ incompatible avec les datas.

Dr. Marck mentionna aussi son passage en 1994 à la télévision britannique en compagnie de Richard et Judy. Il mentionna que durant et après le programme, quelques 600 appels avaient été enregistrés de gens ayant eu des rencontres avec des Gris (Greys). Ceci renforça le point que j'avais démontré dans ma présentation, à savoir que si vous êtes prêt à réellement chercher, il y a plein de cas de EET en Grande Bretagne.

Mack se demanda pourquoi, malgré le volume énorme d'information amassées sur le sujet, le phénomène EET avait une place marginale dans les média et parmi le public. Il y vit une résistance individuelle et collective causée par une vision occidentale du monde. Il commenta l'arrogance de notre système de croyance, indiquant qu'aucune culture précédente ne s'était ainsi positionnée aussi haut dans la hiérarchie des intelligences du cosmos. Mack expliqua qu'en conséquence les EETs représenteraient un coup terrible et d'une portée inimaginable à notre vision narcissique du monde. Il conclue que l'ego ferait tout pour se défendre contre une telle attaque, cette défense prenant la forme d'un déni.

Mack critiqua le niveau d'attaque personnelle dans l'ufologie, et exprima l'idée intéressante que les chercheurs devraient injecter un peu d'humour dans leur travaux. Il donna la liste des dix raisons pour lesquelles vous devriez suspecter que vous avez été victime de EET, de la première : « Vous vous êtes endormie à Manhattan et vous vous êtes réveillé dans un champ de maïs dans l'Illinois », à la dernière : « Vous venez de réaliser que vous avez accumulé 30 milliards de miles sur votre carte de voyageur fréquent ».

Un des points de vue les plus intéressants de Mack était de se demander ce qu’il se passait quand des témoins sérieux n'étaient pas crus. Citant des exemples de relations parent/enfant, professeur/élève, il indiqua que toute la base de notre système social était en danger de s'effondrer si la confiance était absente des ces relations fondamentales. Ceci est sûrement une idée provocante quand on constate la consistance, le détail et son existence à travers le monde et les cultures de milliers de victimes EET.

Lors d'une conférence la même année à Istanboul, John Mack ajouta un élément à ce qu'il dit à New York, et qu'il est important de souligner ici spécialement à l'attention de ceux qui croient que ces victimes hallucinent. Mack expliqua qu'en tant que professionnel des maladies mentales, il a rencontré de nombreuses personnes souffrant d'hallucinations, qui de manière constante cherchent à imposer avec vigueur à leur interlocuteur leur histoires souvent paranoïaques (ils se croient suivis par le FBI, leur proches cherchent à les empoisonner, etc). La plupart des victimes de EETs prennent le plus souvent la position inverse, possédant ce que Mack appelle, une dose de doute appropriée face à leur expérience.

Une autre observation intéressante de Mack concerne ce qui prend leur place durant de tels enlèvements. Un des éléments les plus consistants est que des procédures médicales et chirurgicales sont centrales dans beaucoup de cas. Mack suggère de ne pas interpréter de manière trop littérale ce que les victimes considèrent comme des procédures médicales/chirurgicales, quand tout ce que nous pouvons déterminé est que ce sont des procédures qui sont similaires aux nôtres et peut être d'un ordre tout a fait diffèrent. Budd Hopkins avait développé précédemment un point similaire quand il avait réfuté l'argument absurde de sceptiques qui objectèrent en disant « et bien ce genre de chose ne serait pas fait par de vrai Ets ». La vérité est que nous ne savons pas ce qui se passe durant un enlèvement, et pourquoi. Malgré nos déductions, nous ne connaissons en rien l'état d'esprit des ravisseurs ni leurs buts. Tout ce que nous pouvons faire c'est transmettre les éléments contenus dans un témoignage et les comparer à nos activités terrestres. En faisant cela nous courrons le risque d'être largement dans l'erreur.

Crucialement, Mack aborda le sujet de l'utilisation de l'hypnose régressive qui a été une source de désaccord massif entre professeur de psychiatrie dans le débat sur les EETs. Mack considère que si la méthode est utilisée avec le sérieux nécessaire elle est une méthode indispensable pour diagnostiquer et soigner les victimes.

John Mack a fondé le Programme de Recherche sur les Experiences Exraordinaires (PEER).

L'intervenant suivant était Budd Hopkins dont la contribution à notre connaissance du phénomène EET n’est comparable avec aucune autre. Hopkins est le fondateur de Intruders Fundation, mais est aussi responsable d’avoir sensibilisé un grand nombre des meilleurs chercheurs sur le sujet et le plus célèbre d'entre eux John Mack lui-même qui au début était convaincu que Budd et ses victimes étaient tout simplement des fous. Son dévouement est phénoménal mais c'est aussi sa compassion, qui le rend immensément sympathique auprès des victimes et des chercheurs. L’accueil qui lui fut réservé témoigna du respect avec lequel il est considéré, tout comme l’affection qui lui est portée.

Budd commença son intervention par un tribut touchant de Helen Wheels qui mourut tragiquement cette année – la soeur de Peter Robbins – dont le détail de son expérience personnelle, elle même une victime, peut être trouvé chapitre 9 du livre de Michael Mannion, Project Mindshift.

Budd se concentra sur la stratégie employée par les ETs de s'attacher à chaque stade du développement de l'être humain, décrivant comment les traitements varient selon les âges. Il cita de nombreux exemples parmi plusieurs milliers de cas qu'il avait étudié pendant ces 25 dernières années. Il mentionna deux cas fascinants où les cris des bébés ne s'arrêtaient que quand leur mère enlevait leur paire de lunettes de soleil, spéculant que celle ci avait rappelé aux bébés les yeux larges et noirs qui sont souvent décrits comme l'élément physique le plus notable des ETs. Il mentionna aussi les cas où des bébés incapables encore de se redresser avaient été trouvés en dehors de leur berceau. (J'ai moi aussi un cas où cela s'est produit).

Budd décrit la problématique de la confiance et de la prise en charge. Comment de jeunes enfants pourraient ils développer un sens de confiance quand leurs parents ne peuvent pas les protéger des enlèvements ? Comment l'enfant saura si la prochaine personne à entrer dans la pièce est un parent ou quelque chose de plus sinistre ? Comment un enfant peut-il développer sa capacité à bouger s’il est confronté à une situation où il est paralysé.

Quand un enfant pouvait parler et bouger, Budd nota que les tactiques employées durant les enlèvements changaient. Les ravisseurs pouvaient dire aux enfants qu'ils les aimaient, qu'ils étaient leurs vrais parents et qu'ils venaient des étoiles. Mais ce sont des pièges, croit il, dont le sentiment qu'ils indiquent ne sont que des leurres afin de contrôler plus facilement leurs victimes

Budd pense que la conséquence de ces actions provoque un dommage collatéral car les réactions adultes dérives d'expériences vécues durant l'enfance. Ces conséquences pensent ils ne sont pas nécessairement voulues par les Ets.

Comme je l'ai indiqué au début de cet article, quelques concepts mentionnés dans ce compte rendu sont sans doute étrangers pour beaucoup, et certains aspects peuvent paraître trop bizarres pour être pris au sérieux. Je pensais comme cela moi aussi, j'évitais de parler de cas de EETs au Ministère de la Défense par peur de mettre à mal les progrès que je faisais, à faire graduellement changer les idées de mes collègues sur la nécessité de conduire une étude scientifique sur le sujet des OVNIs, en corrélant les témoignages avec les données de radars, coordonnant mes enquêtes avec les experts de la défense aérienne, et en arrangeant pour une analyse pertinente les photos et les vidéos obtenues. Mais un des plus important aspect que j'ai appris de l'Ufologie c'est que les enquêtes doivent se diriger là où les datas vous emmènent et ne pas ignorer les cas simplement parce qu'ils sont contraires à une vision personnelle du monde. Considérez que les OVNIs sont simplement un moyen de transport crée pour se déplacer d'un point à un autre. Cette conférence ce concentre sur les occupants de ses OVNIs et leurs relations mystérieuses et constantes avec l'humanité.

www.nickpope.net




25/02/2008

BBC4 report on Dr. John Mack



BBCRadio4 half hour special about Dr Mack still available


BBC Radio 4 in the UK has created a half-hour program about the late Dr. John Mack, which aired on Wednesday June 8, 2005 at 9pm London time. Entitled Abduction, Alienation and Reason, the show focuses on his work with "experiencers" of alien contact and his conflict with the Harvard academic establishment.

Synopsis

Wednesday 8 June: Choice of the Day: Abduction, Alienation and Reason 21.00-21.30
The late John E Mack was a highly respected Professor of Psychiatry at Harvard University and a Pulitzer Prize winner for his work on TE Lawrence. In 1983 he founded the Centre for Psychology and Social Change (now the John Mack Institute) and was at the forefront of original research at Harvard University’s Cambridge Hospital. In the early 1990s, he turned the academic community worldwide upside down because he wanted to publish his research in which he said that people who claimed they had been abducted by space aliens may not all be crazy after all. Abduction, Alienation And Reason is the story of one man’s battle with his academic colleagues to keep an open mind and his struggle to understand those who claim to have been abducted. His plea was as much for them as for the future of psychiatry.

Family and colleagues of John were interviewed in late 2004 by BBC radio's Angela Hind and Sue Nelson. Present in program are: John's former wife Sally Mack; attorney Eric MacLeish; psychiatrist/theologian Jeffrey Rediger; psychiatrist/psychologist Robert Jay Lifton; Harvard's Senior Fellow for the Study of World Religions John Chirban; "experiencers" Karin and Peter; and skeptic/psychologist Richard McNally.

20/02/2008